Plusieurs centaines de kilomètres en une nuit qui a « roulé comme sur des rails » et nous arrivons dans la petite ville de Ninh Binh. Nous découvrons un peu un Vietnam traditionnel, proche de la campagne, où les rizières et les petites montagnes en forme de U inversé alentours nous offre un paysage très vert et exotique à souhait… beauté fragile.
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On doit bien l’avouer, on en a un peu marre du bus, enfin Chris lui n’a pas assez de place pour son corps trop grand pour tout ici, ca le rend un peu gringe comme il le dit lui même 😉 . Ca tombe bien, la prochaine étape pour Ninh Binh se fera en train de nuit !
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Avec un bus de nuit depuis Nha Trang, nous sommes arrivés à Hoi An vers les 7 heures du matin, après 13 heures de voyage mouvementé. Le conducteur et ses assistants ont décidé à nouveau d’utiliser le trajet payé par les touristes en s’arrêtant plusieurs fois pour remplir les soutes du bus avec des marchandises, ça fait beaucoup de tralala pour bien dormir et pas beaucoup de place sur ces sièges couchettes, vaut mieux être de petit gabarie !
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Deux couleurs distinguent cette côte : le fuchsia pour les bougaviliers et le turquoise pour la mer ! Tout le long de la route des palmiers, majestueux. Ici il fait beau, presque pas d’humidité et zéro moustiques (comme c’est bien), car c’est un coin venteux, donc fréquentés par les kitesurfeurs (voile et planche) et aussi par les russes ! Ici on ne mange que coquillages et crustacés grillés au feu de bois… on ne peut pas s’en passer.
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Hey, hey, nous voilà arrivés à Hô Chi Minh, la capitale du Vietnam… Nous trouvons deux motos dopp (taxi scooter) pour parcourir le grand bout de ville du terminal de bus jusqu’au quartier que nous avons choisi, dans le centre et proche du quartier des routards. Ce qui n’est pas facile, c’est de savoir combien coûte réellement une course locale et non pas celle pour les touristes, au début c’est toujours 6 x plus cher, mais après un temps on arrive plus ou moins à négocier au même prix. Il faut savoir qu’ici en Asie, la plupart des terminus de bus se trouvent à l’extérieur de la ville, est-ce principalement pour le business des taxis ?
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Après un petit déj., nous prenons le minivan prévu pour Hà Tiên, petite ville juste après la frontière du Vietnam, afin de ne pas faire trop de route le même jour. Nous pouvons ainsi profiter d’une journée tranquille au bord du golfe du Siam et trouvons une chambre au prix tout à fait raisonnable au Hoa Mai Hotel, au centre avec une vue sur l’eau.
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Pour quelques jours, fini le bronzage moto (avant bras/mollet), nous voilà à la mer avant de prendre la route du Vietnam. Nous retrouvons Emeline et Anthony à Otres Beach, qui avaient déjà transités. Ils ont trouvé un chouette bungalow pour nous aussi, à l’Otres Orchid vers la plage Chalet. C’est loin du centre de Sihanoukville, tranquille et joli. Tout ce qu’on raconte sur cette côte est plus au moins vrai (jeunes filles avec des hommes murs), cependant pas aussi marquant que ça.
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Petite escale à la capitale donc, avant d’entreprendre le trajet final jusqu’à la mer. Chouette Phnom Penh… plus tranquille qu’on pourrait croire, mais un peu puante !
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Petit coin de terre simple, entouré de rizières, nous voici arrivés à Battambang après quelques heures de bus tranquilles. La ville est très étendue en superficie et elle nous apparaît peu touristique et dynamique à la fois. Premier Hôtel depuis notre départ, mais Royal comme son nom l’indique, super accueil, on est bien ici aussi !
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Afin de nous dépoussiérer quelque peu de la campagne, nous décidons de tracer la route en direction de Siem Riep. Toujours en bonne compagnie de E & A, on décide de prendre un minivan, car c’est plus rapide (6 heures). Cependant, nous l’aurons compris, ici au Cambodge les conducteurs de minivan s’arrêtent parfois durant le trajet pour prendre des marchandises imprévues, par ex. des immenses planches de tek, pour les caler sous les sièges… ca tombe bien vu que nous ne sommes pas pressés et que presque vingt personnes à voyager dedans, avec les sacs bien sur… On ne peut que patienter et observer !
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