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Il y a peu, on se baignait et on pêchait encore la perchette dans le Lavaux, mais les vignes sont prêtes pour les vendanges, l’été c’est fini !
Plus +Il y a peu, on se baignait et on pêchait encore la perchette dans le Lavaux, mais les vignes sont prêtes pour les vendanges, l’été c’est fini !
Plus +Premières vacances à l’étranger depuis la fin de notre tour du monde. Déjà une année et demi. Impression particulière... des vacances vraiment ? De notre point de vue, chaque éloignement dans un autre pays ressemble à un voyage. On ne peut pas se défaire de cette expérience, comme si elle avait imprégné l’entier de nos cellules pour toujours… mais à entendre ceux qui l’on aussi vécu, on n’est pas les seuls à sentir ça.
Plus +Belle impression de cette ville rien qu’en la survolant, puis en prenant un taxi pour rejoindre down town, on découvre le cœur de Rio et ses habitants métissés, presque aussi nombreux que toute la Suisse réunie. La circulation est danse, mais toutefois fluide car ça roule vite et il y a beaucoup de bus, sans horaire, mais de nombreux convois pour rejoindre n’importe quelle destination.
Plus +Depuis Buenos Aires, on s’est envolé pour Puerto Iguazu, le côté argentin des chutes d’eau d’Iguazu, aux portes du Brésil et du Paraguay. Proche de la forêt tropicale, il fait chaud & humide, presque de dire trop, c’est aussi le retour des insectes qui font un bruit intense de « sisisi » comme les cigales et des moustiques qui nous dévorent sans aucune indulgence – les mollets blancs à pois rouges c’est pas tant sexy 😉
Plus +On plane sur la ville de Buenos Aires à la tombée de la nuit, scintillante, construite comme une immense grille et c’est là que nous tournons une page importante, celle des trajets en bus dans la poussière et des escapades dans la nature.
Plus +Le 25 novembre, nous partons en bus pour Puerto Natales au Chili, en repassant encore par la douane, petit trajet de 6 heures de bus pour rejoindre cet ancien village de pêcheurs. Même s’il y a un vent à décorner non pas un, mais plusieurs bœufs, nous projetons de partir randonner un peu plus loin dans le parc national de Torres del Paine pour faire le circuit appelé « W ».
Plus +Jamais ou plutôt très peu souvent, nous nous sommes sentis comme à l’autre bout du monde, mais les terres que nous commençons à fouler ressemblent à l’idée qu’on peut s’en faire... Ici la nature décide de tout et reste obstinément sauvage, le vent de l’océan balaie les grandes plaines arides et inhabitées, les routes sont plates… à perte de vue, comme en Australie. Ah oui, et puis on perd encore des degrés. Mais dans les supermarchés on trouve de tout.
Plus +Le 7 novembre, on arrive depuis Santiago au dernier bled chilien, Pucon, un peu froissés pour avoir passé une nuit dans le bus… mais quelle surprise de constater que les habitations et les restaurants dans le coin ne sont que des chalets… enfin c’est plutôt des maisons en bois, wahou ! Par contre, par rapport à la capitale, la température a considérablement chuté, on ressort les vestes et les duvets font leur apparition.
Plus +Quelques choix directionnels doivent être pris, car il nous reste plus ou moins un mois pour descendre tout au Sud et y’a tellement de choses à voir encore, malgré que nous commençons à sentir la quantité des paysages déjà vus et les kilomètres dans nos semelles et une certaine (tout petite) « blasitude » poindre. Savez-vous combien on a déjà parcouru de kilomètres en traversant tous les pays que nous avons déjà visités, sans compter tout ce qu’on marche chaque jour ? Ben…. on vous laisse deviner 😉
Plus +Un petit coup de froid a commencé a soufflé à Cafayte, puis s’est étalé dans la vallée du Nord Ouest Andin et quand on arrive 4 heures de bus plus tard à la Vallée de Tafi à 2'100 mètres (juste un stop d’une nuit), il fait cru. On se trouve un peu perdu dans ce village tout vide encerclé de montagnes et de brume… puis on se délecte rapidement d’être loin de toute animation, de voir des chevaux se promener en liberté et même une chouette blanche avec de grands yeux jaunes hululer sur un poteau champêtre. A notre auberge bien excentrée, le Nomade, c’est repas familial avec les hôtes (soupes de courge avec des morceaux de viande à l’intérieur et pain maison), puis le petit déj, tout compris 28 francs pour nous deux. Dans notre case il fait un peu frais, malgré les couvertures.
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